Je suis tout à fait d'accord avec vous, Madame la ministre. J'envisageais vraiment les élèves en phobie scolaire, les élèves à besoins éducatifs particuliers qui ne peuvent pas se déplacer, et les élèves absents parce qu'ils sont malades.
La débrouillardise collective est envisageable mais la mission de l'enseignant consiste à prendre en compte tous les élèves, même ceux qui ne sont pas là.