Le fait de casser à la racine l'élan vital vers l'école, l'envie qu'un jeune ressent de s'éduquer à 14 ou 15 ans, aura un coût pour la société plus tard. Il faudrait que nous parvenions à calculer le coût de cet abandon, que nous parvenions à mesurer combien cela coûte que l'école ne soit pas suffisamment accueillante pour ces enfants.