Ces initiatives doivent être d'autant plus encouragées lorsqu'elles viennent des parents eux-mêmes. Ce sont eux, conscients des besoins de leurs enfants, qui se prennent en charge et construisent, autour de leurs enfants et avec les moyens du bord, un projet pour empêcher le décrochage. Il faut effectivement que ces projets soient connus et reconnus. Je tiens également à souligner que la crise a permis à des établissements, comme des collèges et des lycées, de découvrir que certains de leurs meilleurs élèves vivaient en squat. Les situations commencent à être connues, ce qui peut être mis au bénéfice de la crise.
Je donnerai à présent la parole à Nathalie Senikies, de l'ASMIE et aux personnes autour d'elle.