Je reviens sur les lieux de parole dont Mme la défenseure des droits a fait état dans ses propos liminaires. Outre les JADE, infirmiers et médecins scolaires, je soulignerai l'importance des associations spécialisées dans l'écoute des enfants et dans la réponse aux questions de santé physique ou mentale. J'encourage à réfléchir sur la place à leur accorder au sein de l'école, maternelle et primaire, du collège et du lycée. Des permanences pourraient par exemple y être organisées, où les enfants auraient l'entière liberté de se rendre, sans obligation préalable de prendre rendez-vous.