Nous ne pourrons dire que nous ne savions pas. Plus que jamais avec l'Uniopss, nous incitons au consensus, à l'engagement d'une démarche collective respectueuse de l'identité de chacun. Qui, sinon l'État, lui donnera l'impulsion décisive ? Il ne s'y emploiera cependant avec succès qu'à la condition d'apparaître crédible auprès des différents intervenants. Or, il ne l'est pas aujourd'hui.
Choisir une recentralisation des politiques de protection de l'enfance manquerait de pertinence. Il convient de maintenir les dispositifs de proximité, mais en leur apportant un appui national.