Il s'agit d'intégrer dans ce texte le tiers secteur de la recherche, qui ne relève pas de la recherche académique, afin d'en faciliter le développement. En effet, de nombreuses initiatives ont pu être lancées, à la demande d'organisations non gouvernementales ou d'associations, souvent à partir du principe d'une recherche participative. La participation des citoyens à des processus de recherche est sans doute le meilleur moyen de lutter contre les fake news. Reconnaître le tiers secteur dans ce projet de loi serait un véritable progrès.