Les élections aux conseils universitaires sont déjà rendues difficiles par le faible nombre d'électeurs, mais dans le cas d'élections partielles, c'est encore pire – je peux en attester pour avoir dirigé un établissement public. Le risque est qu'on se retrouve sans électeur du tout ! L'objet de cette disposition du projet de loi est de procéder à une simplification qui, pour être juste, doit s'appliquer dans les mêmes termes à tous les membres des conseils. Avis défavorable.