Il n'y a pas de fongibilité dans le plan « Un jeune, une solution ». Chaque ministère chargé d'une partie de ce plan doit s'en saisir pleinement. Ma responsabilité est de remonter la parole des jeunes et d'accompagner le déploiement de ces politiques.
S'il y avait eu fongibilité, nous aurions pu imaginer qu'un seul ministre soit chargé du déploiement de ce plan. Or, la jeunesse étant la priorité du Gouvernement, cela nous engage tous. Chaque ministre a donc la responsabilité de déployer une partie du plan et d'en faire un retour. Lors de l'avant-dernier conseil des ministres, nous avons fait un point sur l'avancement de ce plan.
Nous avons régulièrement des temps de travail collectif pour accompagner ce mouvement. Ma responsabilité est de rappeler à chaque ministre que ces dispositifs doivent aller vers les jeunes, de partager avec lui la façon dont les jeunes les vivent et de voir comment nous les déployons pour répondre aux enjeux particuliers de notre temps.