Monsieur Maistre, vous avez fait allusion au projet de loi relatif au renforcement des valeurs de la République. Je rappelle que l'article 1er de la loi de 1905 affirme que « la République assure la liberté de conscience » : lorsqu'on parle des algorithmes, de l'enfermement algorithmique et des biais cognitifs que cela peut induire, il me semble que nous sommes au cœur du sujet. Le législateur que nous sommes a la responsabilité de s'interroger sur la puissance de ces calculs, que vous expertisez pour nous permettre ensuite de travailler au mieux. Je pense que nous serons très vite amenés à nous revoir dans ce cadre.