Après un an de fonctionnement, moins de 10 000 enfants ont bénéficié de repas à un euro. Si 12 % des enfants ne mangent pas à la cantine, ce chiffre atteint 30 % des enfants sous le seuil de pauvreté, 60 % des enfants sous le seuil de pauvreté en REP, et 75 % des enfants sous le seuil de pauvreté et en REP+.
Le gouvernement envisage-t-il, à l'instar de la tarification des activités périscolaires dans les centres de loisirs municipaux, d'allouer les moyens nécessaires pour que les enfants bénéficient au moins d'un repas chaud et équilibré par jour à la cantine ?