Je me réjouis que les écoles Fourier, Fribourg et Saint‑Exupéry de Besançon ne soient plus « orphelines » et intègrent le réseau d'éducation prioritaire dès cette rentrée. C'est le fruit d'une mobilisation des enseignants de la communauté éducative locale et du rectorat, que je salue et remercie. Moi-même, je vous avais alerté sur leur cas, monsieur le ministre. Cette décision était logique et cohérente puisque ces écoles étaient pleinement intégrées à la cité éducative et que le rectorat avait mobilisé de nombreuses ressources pour dédoubler les classes.
Je m'interroge toutefois sur la subsistance éventuelle d'écoles orphelines, ailleurs sur le territoire. Combien sont-elles ? Leur nombre est-il en baisse ? Quelles recommandations du rapport Mathiot-Azéma, « Territoires et réussite » ont été mises en œuvre ?