Madame la ministre, pouvez-vous faire un point sur la rentrée étudiante en outre-mer et notamment dans le centre universitaire de Dembeni, à Mayotte, où les inquiétudes sont nombreuses face à l'instabilité sécuritaire actuelle ?
En mars 2019, près de 900 000 candidats avaient validé au moins un vœu sur « Parcoursup ». Parmi eux, les deux tiers étaient des élèves de terminale, mais un nouveau public avait fait son apparition sur la plateforme d'admission post-bac : les candidats en reprise d'études. En 2019, toutes les demandes de ces candidats n'avaient pas pu être satisfaites. Pour éviter les insatisfactions, le ministère a misé sur un nouveau dispositif, « Parcoursplus », qui est entièrement intégré à « Parcoursup ». Ce dispositif est destiné aux personnes en poste, en recherche d'emploi ou sans activité et qui souhaitent reprendre une formation de premier cycle dans l'enseignement supérieur, titulaires du baccalauréat ou équivalent. Depuis plus de quatre ans, ce dispositif est un module d'information et d'orientation parallèle. Quel bilan en faites-vous, madame la ministre ?