Le rapport de M. Léo Heller pointe un certain nombre de risques, comme le transfert des bénéfices en dehors du secteur de l'eau, l'investissement limité des entreprises sur leurs propres ressources ou les pratiques de corruption, et recommande de bonnes pratiques, comme la transparence des mécanismes soutenant la prise de décision, la clarté des contrats s'agissant des conditions et modalités permettant de « mettre en œuvre un processus de déprivatisation solide, transparent et financièrement rationnel », la surveillance de l'exploitation et du respect des droits humains et la participation de la population. Quels seront les principaux axes de recommandation de votre rapport ? Quelle peut être la place du secteur privé dans la perspective du respect du droit humain à l'eau et à l'assainissement ?