70 % des services publics d'eau potable font l'objet d'une gestion directe, couvrant 28 millions d'habitants (soit 42 % de la population française), tandis que 30 % d'entre eux sont gérés en délégation par des opérateurs privés, pour 58 % de la population. Selon vous, le recours à la gestion publique ou privée a-t-il un impact sur la protection de la ressource en eau ?
Par ailleurs, avez-vous connaissance d'un modèle alternatif de production du maïs, qui ne reposerait pas sur l'irrigation ?
Je partage l'avis de Monsieur Burner au sujet de la petite hydroélectricité. Il n'est pas pertinent de détruire l'environnement pour produire quelques kilowatts-heure subventionnés.