Quelles activités humaines (industrielles, agricoles ou individuelles), qui feraient particulièrement obstacle à une utilisation durable des eaux souterraines, le BRGM identifie-t-il ? Avez-vous repéré des réserves d'eau souterraine en particulier qui feraient l'objet d'une surexploitation liée à une activité humaine identifiable ? Ces cas de surexploitation se font-ils dans le cadre légal ou réglementaire, dans le cadre de dérogations ou dans un cadre illégal ? De quelles données le BRGM dispose-t-il au sujet des nappes de Volvic et Vittel ? En ce qui concerne Volvic, Danone soutient que la diminution de la quantité d'eau dans la nappe et la réduction du débit constaté au niveau des résurgences sont dues au dérèglement climatique, tandis que MM. Durand et Livet, hydrogéologues, s'accordent à dire que la surexploitation de la nappe est en cause.