Les sols éventuellement imperméabilisés dans le secteur de Volvic ne représentent pas la part la plus importante de la recharge.
Toute la pluie ne rejoint pas la nappe phréatique, puisqu'une partie retourne directement à l'atmosphère, par le phénomène d'évaporation, qu'une autre partie ruisselle et qu'une dernière partie est prélevée par la végétation. Les mois d'hiver, d'octobre à mars, sont les plus favorables à la recharge, car les précipitations y sont plus importantes et les besoins de la végétation sont alors limités.
Nous n'avons pas les moyens d'évaluer l'éventuel accroissement de l'imperméabilisation et de savoir dans quelle mesure ce phénomène pourrait limiter la recharge.