Eric Brejoux, chef du service Eau et milieux aquatiques de l'Office français de la biodiversité (OFB) :
Avec la limitation des DSP à un maximum de 20 ans, les collectivités ont pris conscience qu'il était préférable de reprendre à leur compte les investissements et de laisser dans le cadre de la DSP, la seule exploitation à l'exploitant.