Nous avons procédé à la suppression de questions au fil des ans, notamment lors du questionnaire de 2016. En effet, nous nous sommes aperçus du nombre trop insuffisant de réponses pour que cela soit significatif et que nous soyons en capacité de tirer des conclusions. C'est la problématique autour de cet outil. Il est de plus en plus difficile de prendre du temps aux collectivités qui sont très sollicitées pour leur soumettre un énième questionnaire, surtout quand ils ne sont pas obligatoires. Nous avons tenté de l'alléger pour le recentrer sur des questions essentielles sur lesquelles nous avons l'habitude d'avoir un bon taux de retour et ainsi augmenter les chances d'avoir une bonne qualité de réponse sur les sujets indispensables. Je ne dis pas que la question des pénalités n'est pas une question inintéressante. De toute façon, dans la pratique, imposer des pénalités se généralise. À la lecture des contrats, les collectivités sont plus exigeantes qu'elles ne l'étaient auparavant. Je ne suis pas sûre que l'Observatoire soit le meilleur outil pour mesurer cela. Sur les enquêtes 2014-2015, dans lesquelles figuraient encore ces questions, le retour était d'une trentaine de réponses sur notre échantillon de 150 procédures. Ce n'était pas significatif. Nous pouvons vous transmettre le bilan des questions que nous avons dû malheureusement retirer de notre questionnaire, car trop peu renseigné et donc peu significatif. Encore une fois, cela peut être complété par des études complémentaires.