Intervention de Mathilde Panot

Réunion du jeudi 1er avril 2021 à 15h30
Commission d'enquête relative à la mainmise sur la ressource en eau par les intérêts privés et ses conséquences

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMathilde Panot, présidente :

Mes chers collègues, nous continuons nos auditions par une table ronde sur le thème de la gestion de l'eau, réunissant M. Bernard Drobenko, professeur émérite de l'université du Littoral-Côte d'Opale, M. Jamal El Khattabi, maître de conférences à l'université de Lille, et Mme Tsanga Tabi, ingénieur de recherche à l'École nationale du génie de l'eau et de l'environnement de Strasbourg, membre de l'unité mixte de recherche Gestion territoriale de l'eau et de l'environnement.

Madame, Messieurs, je vous souhaite la bienvenue et je vous remercie de prendre le temps de répondre à notre invitation.

Je vais vous passer la parole pour une intervention liminaire de cinq minutes, qui précédera notre échange sous forme de questions et réponses. Cette commission d'enquête s'intéresse à la mainmise des intérêts privés sur la ressource en eau et ses conséquences. Dans vos interventions liminaires, Madame Tsanga Tabi, vous pouvez présenter le modèle de tarification solidaire multi-objectifs (TSMO), cela intéresserait notre commission ; Monsieur Drobenko, vous qui avez travaillé sur le droit à l'eau, vous pourriez nous parler du dérèglement climatique et nous expliquer s'il vous inquiète pour l'accès à l'eau pour toutes et tous, et comment le mode de gestion affecte le droit à l'eau et à l'assainissement des usagers ; Monsieur El Khattabi, vous avez travaillé sur l'impact des activités humaines sur le grand cycle de l'eau, pourriez-vous insister sur la question de l'infiltration de l'eau dans le sol et dans les nappes, ainsi que sur les problèmes que posent l'artificialisation et l'imperméabilisation des sols au regard du changement climatique ?

Je vous remercie également de nous déclarer tout autre intérêt public ou privé de nature à influencer vos déclarations.

Auparavant, je vous rappelle que l'article 6 de l'ordonnance du 17 novembre 1958 relative au fonctionnement des assemblées parlementaires impose aux personnes auditionnées par une commission d'enquête de prêter serment de dire la vérité, toute la vérité, rien que la vérité.

Je vous invite donc, Madame, Messieurs, à lever la main droite et à dire : « Je le jure ».

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