Effectivement, l'absence de l'eau dans les nappes engendre une concentration de pollution. Nous en avons un exemple dans le Nord, avec la mise en place d'arrêtés. Les perchlorates sont se sont diffusés dans le sous-sol suite à l'usage de munitions utilisées lors de la Première Guerre mondiale. Lors de chaque épisode de sécheresse avec des nappes basses, les concentrations augmentent et des arrêtés proposent le recours de l'eau en bouteille, notamment pour les bébés. Cette pollution est diverse. Le nitrate est également un problème en France depuis des années, pourtant ils persistent. Conscient des dangers, dans de nombreux champs captants, le principe de dilution est adopté. Une eau moins nitratée est mélangée à l'eau pour baisser ce taux en dessous des 50 mg/l. Le défi est de moins diffuser, d'utiliser moins de nitrates et de pesticides. La nappe est soumise à une agression continuelle et une chute de la pluviométrie. Nous conjuguons deux problèmes à la fois : la pollution en continu et la carence de pluie. Le silicium constitue également une contamination naturelle.