Pour Danone, la DDT avance qu'il n'y a pas de corrélation établie entre le niveau de la nappe de Volvic et le débit des résurgences des sources en aval. L'hydrologue officiel du département prouve pourtant le contraire. Les arguments sont donc incohérents.
S'agissant de Limagrain, la DDT explique que le syndicat des irrigants est organisé en tours d'eau. Pour respecter ces tours d'eau qui ont été autorisés par l'État, il n'est pas possible de réduire les prélèvements. L'État justifie donc cet état de faits par les autorisations qu'il a déjà accordé par ailleurs.