L'arrêté du 28 novembre 2014 définit précisément les mesures qui doivent être prises par l'exploitant. Les données de prélèvements (telles que le volume maximal journalier, mensuel ou annuel) sont vérifiées par un contrôle administratif et font l'objet d'une analyse par un service de l'État. Ces données sont partagées lors des comités de suivi. En 2020, des contrôles de terrain ont également été réalisés pour vérifier la concordance de ces chiffres au regard des données dont nous disposions pour l'année en cours.