L'augmentation de la température de 1,5 degré constitue quand même une augmentation sensible. L'hydrogéologue coordonnateur du département avait estimé la perte de ressource liée à l'évapotranspiration à 50 litres par seconde. La perte d'entre 35 et 60 litres par seconde serait liée à la diminution des pluies efficaces : il ne pleut pas aux mêmes saisons que par le passé et il pleut plus fortement, sans permettre l'infiltration dans le bassin. Enfin, la perte de l'ordre de 30 litres par seconde est liée à l'évolution du rôle de la forêt. Voilà comment nous expliquons la perte de 100 litres par seconde dans les années 2000.