J'étais quant à moi favorable à la mise en place de cette conduite. Les études que nous avions commandées démontraient sa faisabilité et la société Nestlé s'était engagée à y participer à hauteur de 15 millions d'euros, en investissement comme en fonctionnement.
Je ne peux aujourd'hui que soutenir la solution technique alternative désormais préconisée pour équilibrer et régénérer la nappe, dès lors que cette solution m'a été présentée comme plus crédible encore.