Il est difficile de parler de déficit cumulé sur cette nappe, car elle est captive. Un prélèvement annuel est réalisé, qui permet de constater une baisse des niveaux liée à une surexploitation de cette nappe, puisque 2,6 millions de mètres cubes par an y sont prélevés, contre un volume maximum prélevable pour permettre son retour à l'équilibre puis sa régénération évaluée à 2,1 millions de mètres cubes par le BRGM. Les prélèvements réalisés sont toutefois en baisse, puisqu'ils atteignaient plus de 3 millions de mètres cubes en 2010.