Je ne suis arrivé à la préfecture des Vosges que depuis cinq mois. C'est en conséquence d'actions d'associations appelant à l'attention des médias sur ce problème que j'en ai découvert l'existence dans la presse. Avec les services de la gendarmerie et de la police de l'environnement, j'ai depuis saisi la justice pour la partie qui nous occupe. Ces décharges non autorisées ont apparemment été organisées par les prédécesseurs de Nestlé Waters sur le site.