Je peux d'ores et déjà apporter quelques précisions. Madame la présidente, au sujet de l'activité de Bonne source, l'écart entre les chiffres s'explique par le fait que les 15 % correspondent aux volumes en bouteille quand les 20 % correspondent aux volumes en mètres cubes.
En réponse à monsieur le rapporteur à propos du coût du matériel rétrocédé, il ne se situe pas entre 2 et 3 millions d'euros mais plutôt entre 150 000 et 250 000 euros pour un forage aux normes de Nestlé comme le Suriauville IV, tout dépendant de la profondeur.
Malgré l'intitulé de cette commission, la question des déchets semble vous intéresser. Je précise donc qu'au sujet des décharges de plastique, entre 2014 et 2019 nous ne sommes pas restés les bras croisés et nos experts internes, hydrogéologues ou chimistes de l'eau, ont procédé à des études et analyses. Vous comprendrez que ce sujet est complexe. Pour autant, tous les voyants sont au vert concernant l'impact qualitatif après ces analyses environnementales.