Notre souhait tient dans l'équilibre de la nappe profonde. La possibilité de réaliser des substitutions reste à démontrer. En attendant, nous déclarons qu'il y a urgence car la surexploitation dure depuis 1992. Les études portant sur des substitutions permettraient aussi -une nouvelle fois, si l'opération est possible- aux collectivités de récupérer 300 000 mètres cubes d'eau.