À la suite de ces événements, j'ai fait partie, deux ans durant, un syndicat mais aussi le comité technique de la SAFER, afin de constater par moi-même ses fonctionnements. Il s'y intégrait des unités équivalentes faussant la rétribution des terres, ou des cas où les terres restaient dans les mêmes mains sans pour autant être exploitées. La SAFER favorisait ainsi clairement Agrivair et donc Nestlé.