J'ajoute qu'à l'été 2019, nous avons parfois été entendus et le directeur général de l'eau nous a confessé que ce projet de pipeline n'aurait jamais dû être lancé. Mais par la suite, la préfecture nous a écartés du processus de gestion pour le confier à nouveau à des personnes en potentiels conflits d'intérêts, à savoir les élus du secteur. Nous avons donc été entendus pour l'arrêt du pipeline mais pas pour la gestion ensuite.
Nous préconisons d'éloigner les décisions de Vittel et de les confier aux citoyens ainsi qu'aux associations environnementales et du consommateur. Au sein de la CLE, nous sommes totalement marginalisés, à quatre voix contre quarante-deux.