Avant la promulgation de la loi Brottes du 15 avril 2013, le taux de non-paiement oscillait entre 2,3 et 2,7 %. Désormais, il est compris entre 4,5 et 6,5 %. Dans les faits, ce n'est pas tant la loi Brottes qui est en cause que l'utilisation que certains en font à des fins malhonnêtes. Comment aboutir à un texte législatif permettant d'éviter de telles dérives ? Il est simplement primordial de sanctionner ces dernières.