Vous considérez dans votre thèse qu'aujourd'hui, concernant les relations contractuelles dans le secteur de l'eau, l'État est « distant », les collectivités territoriales « émiettées et peu aguerries » et les entreprises « puissantes et rompues à la gestion contractuelle ». Est-ce toujours le cas ? Cela doit-il remettre en cause le principe même de la délégation de service public ?