J'entends cette intervention. Sur le terrain toutefois – et cela a été soulevé lors de la dernière réunion de SAGE à laquelle j'ai participé – le niveau des nappes phréatiques se réduit, ce qui assèche les têtes de bassin et pose des problèmes aux agriculteurs et aux habitants, du fait d'étiages plus rapides des cours d'eau. Pourtant, des irrigants procèdent à des prélèvements, à travers les quotas auxquels ils ont droit. En conséquence, il serait utile de reconsidérer la ressource en eau et de répartir, sur l'ensemble d'une saison, les droits de tirage. Au sein de la région Centre, l'irrigation, en début de saison, est relativement importante. Suivent des « blocages » durant la période estivale ou en début d'automne, parce que les ressources sont déjà épuisées.