Le dernier recensement agricole de 2010 fait état d'une stabilité, voire d'une légère baisse, de l'irrigation en France, après un triplement dans les années quatre-vingt et quatre-vingt-dix. Comment expliquez-vous cette évolution ? L'irrigation est-elle amenée à devoir se développer dans l'avenir du fait de la récurrence de périodes de sécheresse ?