En Essonne, nous travaillons durement sur cette question. Je pourrai d'ailleurs vous transmettre une note attestant que le SEDIF ne dit pas la vérité. Par exemple, de mauvaises durées d'amortissement ont été utilisées pour justifier certains projets. Ce document montre également que le coût de l'OIBP s'élève au minimum à 30 centimes le mètre cube, contrairement à ce qu'affirme le SEDIF. Par ailleurs, sur les Lacs de l'Essonne, Suez a préempté l'usine en offrant 230 000 euros. Ce genre d'agissements sont connus de tous mais personnes ne fait rien.
La manne financière dégagée dans le domaine de l'eau et de l'assainissement en région parisienne atteint un niveau sans commune mesure avec n'importe quelle autre capitale du monde. Il existe donc un vrai problème. En effet, le système est constitué de telle manière que le marché est tenu par les plus grands groupes. Or il n'est plus possible de traiter ainsi la question de l'eau à l'échelle de la planète.