Sur toutes les catégories de communes et toutes les unités de distribution, nous affichons des taux de conformité supérieurs à ceux des opérateurs publics. Ce résultat s'explique par le fait que nous apportons des solutions technologiques.
En France, il existe encore un vrai besoin d'augmenter la qualité de l'eau distribuée, car des centaines de milliers voire des millions de personnes n'ont pas accès 24 heures sur 24 à une eau de qualité. Ce problème devra être résolu si nous souhaitons réduire la fracture sociale. La question n'est donc pas de faire le procès de la technologie mais de vérifier qu'elle est opérée dans de bonnes conditions et qu'elle n'impacte pas le prix de l'eau de manière trop importante. De plus, l'eau en bouteille demeure 400 fois plus chère que celle du robinet, alors qu'elle est souvent achetée par les familles les plus modestes. Si la technologie permet à ces familles de se tourner vers l'eau du robinet, son effet sera bénéfique. En outre, je reste convaincu que le SEDIF a les moyens de disposer d'une vision claire de ce qui doit être accompli en la matière.