Je rejoins ces propos. Les perspectives d'élargissement des assiettes de redevances apparaissent nécessaires pour aboutir à un principe selon lequel « la biodiversité paie la biodiversité ». S'agissant du pourcentage du budget ne payant pas directement l'eau, il est difficile de répondre de par la continuité entre l'eau et la biodiversité. Ces deux politiques ne s'opposent pas. Nous finançons dernièrement de plus en plus le grand cycle de l'eau, comme l'exécution du programme d'intervention le démontre. Toutes nos actions concernent au final l'eau.