À l'annonce du préaccord produit dans la nuit du 11 au 12 avril, nous n'étions même pas informés d'une négociation en cours ce week-end précis. Nous avons été surpris de ce préaccord et avons alors demandé à être mêlés aux négociations se déroulant entre le préaccord du Bristol et l'atterrissage du 14 mai, afin d'entrer en négociation sur les engagements sociaux pris par les parties prenantes. Nous avons reçu une fin de non-recevoir, car même si la réponse n'a pas été négative, mais rien n'a été fait pour nous mettre autour de la table. Nous l'avons dénoncé auprès de notre direction générale en interne. J'ai ressenti pour ma part une grande amertume, et une grande colère, car cet accord s'est fait sans nous sachant que le périmètre visé par nos organisations syndicales n'est pas celui de l'atterrissage.