Nous avons tous été surpris par la capitulation du conseil d'administration après de nombreux mois de lutte et de victoires. La balance est due à la pression de cette somme astronomique portée sur les administrateurs. C'est parfaitement scandaleux. L'OPA a été agressive, avec de nombreuses pressions et des menaces à l'encontre des organisations syndicales. Nous pensions pouvoir conserver un périmètre fort, bien plus large que celui finalement inscrit à l'accord. Le vrai gagnant de l'affaire est Antoine Frérot et non pas les salariés de Veolia qui devront subir une dette conséquente.