Nous avions compris que le groupe ne pourrait rester en l'état. Nous avions ciblé des marchés émergents à conserver pour que le nouveau Suez soit viable. Nous étions à ce sujet en accord avec la direction, comme elle l'avait évoqué dans la presse. Nous passons finalement d'un Suez champion mondial de l'eau et du déchet à un acteur moyen, car notre capacité de développement sur les marchés chinois et américains nous a été retirée. Les salariés sont motivés pour que le groupe redevienne un moteur de la transition écologique, mais ce sera très difficile.