Je me permets de parler au nom de l'union syndicale qui porte effectivement cette revendication de 11 % d'actionnariat. Ce seuil aurait pu permettre d'éviter des offres publiques de retrait obligatoire. Les acquéreurs se sont engagés à ne pas recoter le groupe, mais nous n'y croyons pas. Nous relançons notre revendication afin que les 65 % de salariés représentés par l'union syndicale soient entendus.