Dans aucun de ces deux cas, il ne s'agissait d'intimidations. Dans le premier cas, nous avons informé les administrateurs de Suez que les démarches qu'ils avaient entamées avec la fondation néerlandaise pour abriter l'activité « eau » France nous paraissaient non conformes au droit des affaires. Il ne s'agissait pas d'intimidation, mais d'une bataille juridique. De ce point de vue, le groupe Suez n'était pas en reste.
Par ailleurs, quand une multitude de tribunes hostiles à notre projet est parue dans la presse, nous avons demandé à leurs auteurs de bien vouloir déclarer s'ils avaient des relations avec Suez. Nous ne faisions que réclamer une certaine transparence.