Nous aurions continué la vie de Veolia sans ce rapprochement. D'ailleurs, dans la mesure où ce rapprochement n'était pas imaginable avant le mois de juillet, nous avions un programme stratégique pour développer notre entreprise. Le risque aurait été de voir Suez racheté par une entreprise étrangère pour rendre la concurrence plus sévère, ou par une entreprise financière qui l'aurait probablement démantelé et revendu après quelques années. La France risquait de perdre cette entreprise. Notre solution présente l'avantage d'être franco-française, grâce à Veolia et au consortium à majorité française qui reprendra le nouveau Suez.