Pourquoi développer l'osmose inverse basse pression (OIBP), qui coûterait 800 millions d'euros au SEDIF et provoquerait une augmentation des factures des usagers, alors que l'agence régionale de santé (ARS) elle-même estime que l'eau d'Île-de-France est parfaite ? Selon Marc Laimé, cela permettrait à Veolia de développer une technologie qui lui sera utile à l'international, aux frais des Franciliens.