Nous formions pour Suez un projet ambitieux. Le nouveau Suez, de taille certes plus modeste, aurait disposé d'un savoir-faire préservé et de capacités de rebond importantes pour se redéployer.
Pour mener à bien ce projet, plusieurs éléments étaient nécessaires. Le premier est un périmètre suffisant – je l'ai évoqué. Il fallait également s'appuyer sur une gouvernance qui puisse porter ce projet. La société sort d'un traumatisme fort (elle a été considérablement réduite) ; il y a donc besoin d'une grande unité entre les salariés, le projet et l'actionnariat. L'accord du Bristol a proposé une position tout à fait minoritaire qui ne nous permettait pas de nous engager dans ce projet et de donner aux différentes parties prenantes l'assurance de pouvoir réussir ce projet ensemble.