S'agissant de la Société d'aménagement urbain et rural (Saur), nous étions un actionnaire minoritaire en accompagnement de Séché Environnement et de la Caisse des dépôts et consignations. Cela a résulté en un mauvais investissement. Cela s'explique par plusieurs raisons. Nous avions été frappés par une crise économique très forte. Il était ensuite difficile pour la Saur de se redéployer à l'international. Enfin, le rapprochement souhaité par Séché Environnement et la Saur n'a pas fonctionné pour des raisons évidentes de culture et de capacités de travail.
Il est donc important d'avoir une capacité forte à l'international et une très bonne cohésion entre l'actionnariat et Suez. Le mélange des cultures est un aspect extrêmement important. Je ne connais pas le projet de Meridiam, mais le projet qui nous a été proposé présentait des risques que nous n'étions pas prêts à suivre.