La réponse à la première question est oui. L'État a fait tout ce qui était en son pouvoir pour empêcher que cette opération se fasse dans un cadre inamical. Lors du conseil d'administration du 5 octobre, l'État est même allé jusqu'à voter contre le choix du président d'Engie. C'est le pouvoir maximal dont disposait l'État pour empêcher une opération à caractère inamical.
Après le vote, je pense que le rôle de l'État n'était pas de déstabiliser encore plus une entreprise dans laquelle il avait une participation. Un choix avait été fait, dont acte. Mais je redis que je regrette les conditions dans lesquelles l'opération a été menée.