Non, je parle des arrêtés « sécheresse » qui émanent de la préfecture et dont sont exemptées les multinationales. En cas de sécheresse, on interdit au petit maraîcher d'arroser ses salades et ses tomates, on va jusqu'à alimenter certains villages par camion-citerne et on laisse Nestlé et Danone prélever davantage d'eau dans la nappe phréatique. Ces entreprises sont donc bien exemptées de ces arrêtés ; cela nous a d'ailleurs été confirmé par la préfecture. Puisque la loi du 30 décembre 2006 n'assure par la hiérarchie des usages, ne faudrait-il pas la clarifier, comme cela a été fait en Espagne ?