En raison de l'absence d'ingénierie de contrôle et de la pression qui était exercée.
Lorsque la Générale des eaux a stoppé ses contrats en 2014, elle a exigé des élus 14 millions d'euros. L'État a incité les collectivités à répondre à cette demande.
Dans le même temps pointait la menace d'une grève illimitée des agents à la période de Noël. Ceux-ci réclamaient en effet davantage de visibilité sur leur avenir.
En 2014, la région n'était pas fortement engagée dans le domaine de la gestion de l'eau. Néanmoins, nous avons bien senti qu'une crise de l'eau se faisait jour. Le conseil régional a donc fait l'effort de fournir 1 million d'euros.