Il s'agissait d'une position complexe, qui a en partie semé le doute, et notamment d'une position de soutien de la stratégie du groupe. L'État, tout comme les autres parties prenantes du conseil d'administration, a soutenu la stratégie du groupe durant le conseil de fin juillet.
Le portefeuille de cessions et de rotations d'actifs envisagé incluait Suez. A ce moment-là, 100 % des membres du conseil étaient donc en accord avec ce projet.
C'est par la suite que l'État a légèrement modifié sa position, sans que je puisse l'expliquer.